HumanCharger®
171,50 €
HumanCharger® Le soleil dans votre poche ™ HumanCharger®, un dispositif, bien-être, révolutionnaire qui canalise une lumière vive directement vers les zones sensibles du cerveau ou vous en avez le plus besoin.
HumanCharger®
Le soleil dans votre poche ™
HumanCharger®, un dispositif, bien-être, révolutionnaire qui canalise une lumière vive directement vers les zones sensibles du cerveau ou vous en avez le plus besoin.
HumanCharger® peut être utilisé pour augmenter les niveaux d'énergie, améliorer l'humeur, augmenter la vigilance, réduire les effets du décalage horaire et atténuer les effets de la dépression hivernale.
Casque HumanCharger®
Le HumanCharger® est un moyen rapide, efficace et pratique d'obtenir votre dose quotidienne de lumière nécessaire:
Seulement 12 minutes par jour
Se glisse dans la poche afin que vous puissiez l'utiliser partout où vous le souhaitez
Rechargeable, avec au moins 12 sessions par charge
Avec l'achat d'un HumanCharger®, vous recevez ce qui suit:
Le HumanCharger®, un LEDSet avec quatre tailles de raccords d'oreillette, un guide d'utilisation et un câble de chargement USB.
Comment ça marche.
Entre 2008 et 2010, des chercheurs de l'Université d'Oulu, en Finlande, ont découvert que les zones du cerveau humain sont sensibles à la lumière. Cette sensibilité est due aux photorécepteurs-protéines dans le cerveau, qui sont similaires à celles trouvées dans les yeux, une découverte qui avait été faite par des chercheurs en Ukraine et aux États-Unis 10 ans plus tôt.
Les chercheurs de l'Université d'Oulu ont découvert que les zones cérébrales peuvent être atteintes par la lumière à travers les canaux de l'oreille, les tissus de l'oreille et le crâne.
Lorsque ces zones photosensibles du cerveau sont activées, des composés chimiques (sérotonine, dopamine et noradrenaline) sont libérés pour augmenter les niveaux d'énergie, améliorer l'humeur, augmenter la vigilance mentale et réduire les effets du décalage horaire.
HumanCharger® ne nécessite que 12 minutes pour vous recharger. Aucune photothérapie n'est aussi efficace que HumanCharger®.
Publications et présentation scientifique de Valkee
Découvrez ci-après une synthèse des études menées au sujet du HumanCharger®. Pour plus d'informations, n'hésitez pas à télécharger la synthèse scientifique.
Le cerveau humain est intrinsèquement sensible à la lumière
Université d'Oulu, Finlande :
Dans toutes les zones cérébrales étudiées, la recherche a démontré le rôle central de l'encéphalopsine (OPN3), un récepteur photosensible dans le cerveau humain et celui de la souris. Citons aussi parmi les récepteurs, les régions centrales de production et de stockage de la sérotonine et de la noradrénaline, qui jouent des rôles clés dans la régulation.
PDF : La protéine encéphalopsine (OPN3) en abondance dans le cerveau humain et des souris
Université de Tampere, Finlande :
Cette étude démontre que la lumière extra-oculaire affecte le fonctionnement du cerveau humain. La lumière extra-oculaire a nuancé les réponses cérébrales liées à l'attention se rapportant particulièrement à l'interaction émotion-attention. L'étude confirme que la lumière est capable de pénétrer dans le crâne humain par l'intermédiaire des conduits auditifs et d'atteindre le lobe temporal du cerveau. Parce que le cerveau flotte dans le liquide céphalo-rachidien, la lumière transmise pourrait être largement dispersée, éclairant ainsi la surface basale du lobe temporal. La pénétration de la lumière dans les conduits auditifs a été étudiée sur un cadavre humain après que le cerveau eut été retiré durant une autopsie. La pénétration de la lumière dans le crâne était visible aussi bien quand les lumières chirurgicales étaient allumées ou éteintes. La lumière était capable d'atteindre l'espace intracrânien à travers les conduits auditifs et était visible à la base du crâne sous les lobes temporaux.
PDF : Le cerveau humain réagit à la lumière extra-oculaire transcrânienne
La lumière pénétrant par les conduits auditifs active les réseaux neuronaux du cerveau humain
La lumière vive pénétrant par le conduit auditif provoque une réponse biologique dans les réseaux neuronaux du cerveau humain, comme le montre l'étude d'imagerie par résonance magnétique contrôlée par placebo, en simple aveugle, ce qui suggère que le tissu cérébral est intrinsèquement sensible à la lumière. Dans l'étude réalisée par les chercheurs de l'Université d'Oulu, les corticaux visuels et sensorimoteurs du cerveau humain ont montré une connectivité fonctionnelle significativement accrue dans le groupe témoin par rapport au groupe placebo.
La pénétration de la lumière par les conduits auditifs améliore les performances cognitives
L'étude clinique menée par Valkee a été effectuée auprès d'athlètes de haut niveau, et contrôlée par placebo
C'est une équipe finlandaise de la Ligue nationale de hockey sur glace qui a participé aux tests psychomoteurs de rapidité. Ces derniers ont été effectués avant et après 24 jours de traitement par lumière vive transcrânienne (LVT) ou placebo. Une dose quotidienne de 12 minutes de lumière vive ou un placebo (N=11 pour les deux) a été administrée tous les matins entre 8 et 12 heures, aux domiciles des joueurs, par le biais d'un dispositif de lumière vive transcrânienne. Le temps de réaction en matière de rapidité motrice avec un signal d'avertissement visuel a diminué dans le groupe suivant le traitement à la lumière vive, mais n'a pas changé de façon significative dans le groupe placebo.Une différence statistiquement significativea été constatée entre les groupes dans la diminution du temps de réaction en matière de rapidité motrice.
PDF : Effets du traitement par lumière vive sur la rapidité psychomotrice des athlètes
Les effets de la lumière du jour ne sont pas tempérés par la mélatonine
Huit jeunes adultes en bonne santé ont participé à un essai croisé contrôlé par placebo. Les sujets ont été exposés aléatoirement à 24 minutes de lumière vive transcrânienne (LVT) ou placebo via les conduits auditifs à 13 h 10. Les échantillons de salive et d'urine pour la mesure de la mélatonine et du cortisol ont été recueillis toutes les heures entre 21 h 00 et 3 h 00, entre 6 h 00 et 9 h 00, puis à 12 h 00 et 18 h 00. Aucune différence significative n'a été constatée dans les concentrations de mélatonine ou de cortisol entre les expositions, quel que soit l'échantillon analysé. Les courbes de sécrétion de mélatonine et de cortisol concernant les surtensions circadiennes et les acrophases ont coïncidé avec les profils observés dans des conditions contrôlées. Les résultats actuels indiquent que la LVT via les conduits auditifs n'arrête pas la sécrétion nocturne de mélatonine.
La lumière vive transcrânienne atténue les symptômes du décalage horaire
Cette étude de terrain randomisée, menée en double aveugle et contrôlée par placebo, démontre que l'exposition intermittente à la lumière vive transcrânienne par les conduits auditifs atténue les symptômes du décalage horaire. L'étude a été menée auprès de 55 sujets mâles en bonne santé. Les sujets devaient voyager en avion de la Finlande (fuseau horaire : UTC+2) vers l'Amérique du Nord (fuseau horaire : UTC -5 à -8), et rester au moins 1 semaine dans leur fuseau horaire de destination. Au cours de la période suivant le vol, les sujets ont suivi un traitement LVT ou placebo quatre fois par jour, à raison de 12 min chacun, à des heures prédéterminées. Les sujets ont été exposés à la LVT ou à un placebo toutes les deux heures entre 8 h 00 et 14 h 00 le jour même du voyage, jour 0, puis toutes les deux heures entre 10 h 00 et 16 h 00 les jours 1 à 6 après le voyage. Les sujets ont été assignés au hasard au groupe traité par la lumière vive (N=25) ou au groupe placebo (N=30). Le seul paramètre de l'étude pour le groupe placebo différent du groupe suivant le traitement par LVT consistait en ce que le dispositif de lumière vive était inactif. L'effet de la LVT sur les symptômes du décalage horaire a été mesuré après des voyages vers l'est. Les symptômes du décalage horaire ont été mesurés selon l'échelle visuelle analogique (EVA), l'échelle de somnolence de Karolinska (KSS) et le profil des états d'humeur (POMS). Une réduction significative des symptômes globaux du décalage horaire, de la somnolence subjective, de la fatigue, de l'inertie et des pertes de mémoire a été observée lors de la comparaison du groupe LVT (N=25) avec le groupe placebo (N=30).
La lumière vive transcrânienne atténue les symptômes de la dépression hivernale
Étude clinique en double aveugle menée par Valkee auprès de 89 patients souffrant de trouble affectif saisonnier
Au cours de l'étude de quatre semaines, 89 sujets souffrant de trouble saisonnier affectif ont été choisis aléatoirement pour recevoir à leur domicile une dose quotidienne de 12 minutes d'énergie photique de trois intensités différentes (1 lumen, 4 lumens ou 9 lumens). Les taux de réponse (réduction constatée d'au moins 50%) variaient entre 74 à 79 % en matière de dépression (BDI) et entre 47 et 62 % en matière de symptômes d'anxiété (HAMA). Aucune relation de dose à effet basée sur l'intensité (1 lumen, 4 lumens ou 9 lumens) n'a été constatée en termes d'amélioration des symptômes dépressifs et de l'anxiété voire des performances cognitives entre les groupes de traitement recevant une intensité différente de lumière vive via les conduits auditifs.
Découvrez ci-dessous les autres études :
PDF : L'activité de repos altérée en cas de trouble affectif saisonnier